lundi 3 décembre 2007

résidence-performance au Pôle Transversal






quelques images (photos de Yroyto) de cette semaine de résidence,

mercis aux Pixels pour l'acceuil, merci à Maris Frier pour m'avoir magnifiquement épaulé à la musique.

Le live a été enregistré et sortira sur le DVD visionsonic#2 (pr + d'infos : http://lepoletransversal.blogspot.com/ )

samedi 27 octobre 2007

Résidence

Une résidence ce prépare au Pôle Transversal (Sèvres) du 19 au 25 novembre.
Une semaine de finalisation de la performance dans un lieu de recherche vidéo notamment axé sur l'interdisciplinaire et sur les évolutions du VJing. http://lepoletransversal.blogspot.com/
Trois axes de recherches pour cette résidence:
-La mise en espace des trois écrans et le positionnement de la régie de mixage vidéo et audio.
-La prise en main de la VJX16-4 de Vixid ( http://www.vixid.com/ ) la table de mixage vidéo
qui devrait me permettre de nombreuses combinaisons entre les différentes sources et médias
"récoltés" depuis le début du projet.
-Le travail sur le son: bruitage, paroles, musique improvisée (avec la présence de Marie Frier).

Le samedi 24 novembre dans la soirée, installation performé (LES OCCASIONS) avec Marie Frier à l' accordéon + surprises.

samedi 20 octobre 2007

voici les photos de la première performance (LES OCCASION) le matin du 1er Juillet 2007 dans le boulodrome(merci a la mairie) qui borde le marché aux puces de Guiherand Grange:




photos par mes amis du collectif: http://collectif-art.industrie.over-blog.org/





Performance"chantier en cours"

screen shot animation de Rochel Mancip (VJ ZERO)












Voilà quelques images d'un travail de commande réalisé 19 mai 2007. Je l'inscris sur ce blog (LES OCCASIONS) car j'y utilise les mêmes techniques VJing/documentaire.
Il s'agissait pour "la nuit des musée", de faire une performance vidéo projetée dans la cour du Musée de Valence, traitant des travaux qui s'y déroulent...




jeudi 14 juin 2007

lundi 5 février 2007

Mise en place d’une performance de mixage vidéo et audio d’une portée documentaire sur le marché aux puces de Guilherand-Granges.

Tournage : le marché ayant lieu deux fois par mois, le tournage devrait s’étirer sur six mois, de décembre 2006 à mai 2007. Le but est de constituer une large banque de données audio-vidéo déclinant différents registres d’images : de type documentaire (interviews, longs plans séquences, suivi de personnages au fil des saisons, historique de la manifestation, du lieu) et préoccupations formelles, éléments graphiques (l’agencement des stands, le rapport aux objets, rythmes visuels). Pour m’assister interviennent, suivant le type d’images à prendre, un cadreur et un preneur de son, des VJs et un graphiste.


La banque de données : Juin 2007. A partir des rushs, de la matière visuelle et du son s’accomplit un travail d’échantillonnage, de séquençage, d’animation 3d, de création de bande sonore. Il ne doit rester comme séquences vidéo et audio (même si elles sont de registres différents) que celles qui auront une place potentielle dans le mixage final.


La performance contextuelle : Juillet 2007. Installation de trois vidéos projections sur un stand du marché aux puces de Guilherand-Granges. Remixage pendant la durée du marché (6h du matin / 13h) des séquences de la banque de données sous la forme d’un montage direct (proche des régies TV) en utilisant une centrale de mélangeurs vidéos et différents types de lecteur-sampleur, lecteurs dv et dvd, cameras et ordinateurs. Les différents écrans permettront l’ubiquité des différents registres de regards, faisant cohabiter la « parole » de l’échange documentaire et les expériences visuelles numériques.



Diffusion : par ce projet j’entends aboutir à ce qui serait mon langage cinématographique, d’où la nécessité de présenter la performance lors de festivals de cinéma en particulier documentaire pour y chercher une validation des professionnels…Festival International du Documentaire de Marseille, Etats Généraux du Documentaire de Lussas, les festivals préoccupés par le réel et sa représentation… Je pense à un an de diffusion, de juillet 2007 à juillet 2008. Diffusion locale (cinémas, lycées, médiathèques) favorisant l’aspect pédagogique de la démarche et également social (proximité, mixité sociale). Diffusion plus large dans les divers lieux dédiés à l’image contemporaine (cinémas, centres d’art, friches culturelles…).






Orientations

Un cinéma contextuel direct d’intervention

Un parking sur les bords du Rhône où les objets suivent leur long cours, de main en main.

Deux dimanches par mois se déroule un marché aux puces où se réunissent un grand nombre de vendeurs, d’acheteurs et promeneurs. Tout ces gens sont un peu les mêmes, il n’y a pas de réels professionnels. Il s’agit de petits sous, une économie autonome, humble et sans intermédiaire. Ici presque rien n’est neuf, mais chacun y cherche son trésor, chaque objet est unique, il est sorti de sa série de production, il a sa propre histoire.

Nous sommes dans un espace temporaire autonome économiquement, sociologiquement, une sorte d’utopie précaire, populaire et nécessaire. Ou ceux de la France d’en bas savent accorder aux objets de la vie quotidienne et à la vie quotidienne des objets du merveilleux, alternative concrète à la standardisation et à l’uniformisation des modes de vies.



Note d’intentions


Le projet a pour ambition de mélanger des regards ; du politique au merveilleux,

l’intérêt est de suivre sur plusieurs saisons une activité humaine, d’en tirer un document riche de points de vue, de paroles, de tranches de vies. Etudier le lien social, le rapport à la consommation. Mais dans cette expérience collective il est question d’être au monde et plus particulièrement d’être aux choses, aux objets du quotidien. Ces objets sont des personnages centraux. Tout tourne autour d’eux, ils sont générateurs de mouvement et sont eux aussi en déplacement, ils vivent et font la vie, une vie de merveilles, de couleurs, de matières, de sons, de mémoires, etc.

Différentes perceptions dans un même espace, large et ouvert, d’un rituel social vers une poétique du réel.



Structure de narration


La forme de « l’îlot » comme zone délimitée et séparée du reste du monde. Fiction d’une autonomie temporaire et géographique. Ce pourrait être une histoire venue du passé ou une anticipation du futur. La vie de gens qui échappe à l’actualité. Des rescapés, des survivants.

Donc pas de relation à l’extérieur dans la réalisation du film. Pas de réflexion politique, mais une sensation du fantastique, une fable. Cette idée d’un campement de survivants après un cataclysme qui aurait fait s’effondrer le monde contemporain. Humains survivants, objets survivants. Ou alors résistants à une société totalitaire un peu a la manière des romans d'anticipation des années 60. Documentaire d’anticipation, fable du combat.



Une position éphémère

Mondialisation : commerce et plein air, le campement


Le commerce en plein air comme forme paradoxale d’une contemporanéité, occupation éphémère d’un espace par un groupe humain (réunion sociale) inscrit dans une actualité économique direct de la nécessité. Mais également appartenant à une sorte de nomadisme atemporel, par l’esthétique du campement.

Le campement donc comme forme-force a l’inscription historique paradoxale de l’être là (quotidien, présent, contemporain) et du déplacement dans les époques (nomadisme, non-historicité).

Deux exemples actuels de campement populaire qui s’extraient par leur position éphémère de la logique de progrès et de croissance (idéologie de l’historicité au quotidien, actualité) : le commerce en plein air (marché aux puces) et les rave parties. Libéré le présent de ces espaces établis. Zones d’autonomies temporaires, trouées d’être au monde dans la réification quotidienne de celui-ci.

Il est intéressant de faire cohabiter ces deux concepts de campement et de trouée, entre installation et ouverture, j’y trouve une attitude à adopté, une démarche artistique pour pré-occuper le réel mondialisé.



Extraits Deleuze et Guattari « Mille plateaux » p472, 473, 474, 475 :

« (…) l’espace nomade est lisse, seulement marqué par des « traits » qui s’effacent et se déplacent avec le trajet. ( …) Le nomade se distribue dans un espace lisse, il occupe, il habite, il tient cet espace, et c’est là son principe territorial. »

« la station comme processus (…) La terre cesse d’être terre, et tend à devenir simple sol ou support. »

« La variabilité, polyvocité des directions est un trait essentiel des espaces lisses, du type rhizome, et qui en remanie la cartographie. Le nomade, l’espace nomade, est localisé, non pas délimité. »

« (…)l’ absolu n’apparaît (…) pas dans le lieu, mais se confond avec le lieu non limité ; l’accouplement des deux, du lieu et de l’absolue, n’est pas dans une globalisation ou une universalité centrées, orientées, mais dans une succession infinie d’opérations locales. »





article paru dans le Dauphiné Libéré du 26/02/07:




Anciens projets et textes

Expositions :
















Texte de présentation générale








C’est de l’être au monde, du rapport de l’individu à son environnement, que se développe une expérience du cinéma, de l’image-mouvement. Les étapes techniques de la création filmique mise à nu : camera en dérive (infra-fiction), espace rituel du tournage, montage direct (propagande éblouissante) et projection dans l’épaisseur de l’image (ses évidences physiques).
Un rendu du réel ou deux formes de présence-durée restent ouvertes à toutes les interactions entre le sujet et son contexte. Deux temporalités : celle à l’intérieur du plan (captation séquentielle où le corps est dans le monde, impliqué dans ce qu’il regarde), l’autre dans le choix du montrer, le mixage en « live » des séquences, montage direct.
Le rush-vidéo montré tel quel consiste en une attitude humble et offerte de révéler une durée des choses. Les étendues du hors-champ, leur écoulement à l’image.
Dans le « live » c’est la corruption des choses par leurs images qui donnent la férocité paranoïaque au performeur d’imaginer les pires évolutions, en des fictions d’urgences.







Un travail d’improvisation sur la dynamique interne et externe du plan, laissant la place au concept naissant de l’auteur en écho à une « psycho géographie » des individus.










































Je suis né dans le Diois, au sud du plateau du Vercors, à la source de la rivière la Drôme.
J’ai donc grandi dans une région de nature. Celle-ci intimement liée à la vie de la population
locale. Les rapports entre les habitants et leurs territoires. L’aménagement, la perception de l’espace et du temps urbain. Préoccuper l’espace, un travail de land art en milieu urbain (à la manière de certaines recherches de G.Matha.Clark), ou dans le lieu d’exposition (les propositions de regard sauvage sur l’espace et les formes qui l’occupe dans le travail de Tony Grand). Préoccuper l’espace ce serait donc remettre en cause le découpage scientifique de sa temporalité et la perception fonctionnelle qui en découle. Devant et avec nous ce lieu est actuellement en vie.
Les propositions sur la dérive ou la psycho-géographie des Situationnistes affirment la subtilité des liens entre les individus et leurs paysages, ceci pas seulement dans des rapports de causalité, mais surtout dans des positionnements de présence au monde.
La séquence vidéo, le présent direct du plan qui se construit, permettant de saisir ces liens
en durée.
Comment libérer les images de leur fonction narrative, de cette logique qui suce leur sang selon les mots de Wim Wenders, de cette écriture réifiante qui extrait le sujet de son contexte? Je pense à Merleau-Ponty parlant de toutes les choses qui entourent notre corps comme incrustées dans sa chair faisant partie de sa définition pleine et du monde étant de l’étoffe même du corps.
L’épaisseur de l’image, le profil d’une projection vidéo, sa tranche rappelle la séquence filmique à son essence physique : lumière, contraste, couleur, mouvement. L’image existe par et pour elle-même avant de devenir support à une idée. Mettons que cette séquence nous montre la portion d’un canal, d’un cours d’eau, les propriétés physiques de cette image sont évidentes, mais un autre paramètre essentiel au film s'y rajoute : le hors-champ spatial et temporel. Cette portion de cours d’eau à un amont et un aval.







Cet écoulement un avant et un après. L’ensemble cadrage séquence découpe. Mais puisque il est traversé, il ouvre (la compression d’une image ouverte en un objet que l’on contourne). Umberto Eco parlant de la prise de vue en direct nous dit : »Déjà, des arts comme le jardinage ou l’hydraulique avaient fourni l’exemple d’un artifice qui détermine les mouvements présents et les effets à venir de certaines forces naturelles, et qui les intègre dans le jeu organique d’ une œuvre. » Le moulin à eau et le jardin, figures vivantes de l’équilibre entre nature et culture dans l’esprit zen japonais.
Sur un tournage de cinéma le réalisateur visionne en direct sur un moniteur les images des cameras. Le réalisateur est en dehors de l’espace du tournage, dans le hors-champ des cameras : il dirige, au service d’une narration. Mais en augmentant la taille du moniteur et en le retournant sur le tournage de manière à ce que ce forme une boucle ou les caméramans, les acteurs ont un retour direct sur leurs gestes. Actions et rendu à l’image se déterminent dans la même durée, le même espace. La narration n’est plus principale, une fiction plus primitive la remplace : les gestes, les intentions (improvisées dans le temps) d’individus dans un décor, un paysage (dans des conditions de plein air). Le dispositif cinématographique n’a plus à enregistrer il devient performance. Même le public peut rentrer dans cet espace filmique, comme s’il participait à un rituel animique, visant à réunifier, par le biais de la camera et de son retour, les forces naturelles et la communauté humaine.

















Décadrer sur le décor








Merleau-Ponty / L’Œil et l’Esprit








« Mon corps est au nombre des choses, il est l’une d’elles, il est pris dans le tissu du monde et sa cohésion est celle d’une chose. Mais, puisqu’il voit et se meut, il tient les choses en cercle autour de soi, elles sont une annexe ou un prolongement de lui-même, elles sont incrustées dans sa chair, elles font partie de sa définition pleine et le monde est de l’étoffe même du corps. »











People landscaping




Il s'agit d'une captation vidéo basée sur le volume temporel d'un plan (on commence à filmer puis on arrête). Un plan séquence montré tel qu'il est filmé. Le refus de montage, c’est à dire qu’il n' y a pas de raccord entre des plans différents, est une volonté de ne pas parasiter le rapport direct entre réalité et image à l’instant de la prise de vue pour le filmeur. Quand je filme, je porte la caméra et inévitablement ma position, mon corps est dans le même espace que celui du plan enregistré au moment même par la caméra. Ainsi à l’instant où je commence l'enregistrement c'est ma personne dans son entier, corps et esprit, qui se tend en une même concentration : le temps du plan préserve-t-il le temps réel devant moi, autour? Temps du plan, temps du corps.
Pour les sujets du documentaire, les mouvements d'autrui modifiant par leurs présences les paysages, se suffisent dans leur simplicité d'image. Ces mouvements humains écartés d’une quelconque signification (commentaire) libèrent une fiction primitive, celle du rapport magique (car pensé) des corps et de leurs paysages. Un tournage improvisé peut même faire se frôler une réalité vécue lors du filmage à une impression de mythologie-fiction éprouvée au visionnage de la séquence. En effet une scène anodine lorsqu'elle est captée par la caméra puis montrée telle quelle (dans son temps brut) participe de la mémoire, du passé revécu traité par l’imagination de chaque spectateur (phénomène de projection) questionnant son futur. Passé et futur en relation dans le présent c’est "l'épreuve du temps à l'écran": durée-fiction.








Mon premier souvenir est une image, un passage entre impression et concept (le premier). Ce concept est l'image qui échappe aux impressions, entrant et ouvrant la mémoire de ma vie. Cette image frontière, archaïque (elle m'appartient en profondeur, elle est ma profondeur) et media but de mon langage, motivation première à penser avec vous. L'acte d'utiliser une caméra vidéo, de filmer se limite-t-il aux problématiques contemporaines de la production d'images? Ce que je veux pour une image est qu’elle rejoigne les débuts de ma mémoire, qu’elle soit un concept naissant, une idée se déroulant dans un plan, échappant à elle-même dans le hors champ des impressions.







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Relation au mouvement musical du 20èmes dans l’expérimentation sonore. Les notions de « live », qui réintroduisent le corps et l’échec, aspérités d’un espace-




-temps vécu, évitant la construction de figures aliénantes d’autorité du créateur




sur le spectateur.




Francastel : L’image, la vision et l’imagination




P207 : « Le théâtre n’est pas seulement un spectacle, c’est un évènement. »















Préoccuper l'espace: terminologie de l'installation, préambule, amener à un déséquilibre qui n'en n'est pas un: "une autre apesanteur" est la fabrication d'une loi naturelle, apesanteur horizontale, nature/culture, le temps palpable, préoccuper l'espace quotidien, l’aménagement, l'agencement. Remettre en cause le geste humain dans la perception du temps sauvage, celui de notre absence: ce qui est là quand nous n'y sommes pas. Un espace de solitude. C'est la même intention pour les travaux en vidéo. Les bloc durée "people landscaping" sont des espace de solitudes, des préambules au temps sauvage, un dérèglement du système intellectuel. Je ne construis pas d’agencement conceptualisé, je laisse apparaitre, je ne rajoute pas au monde, j’évolue dans son temps.


















L’ESPACE FILMIQUE 2




Rendre visible la mise en place du spectacle cinématographique et télévisuel, par sa reproduction dans un espace à la définition complexe (parking, terrain vague), à l’érosion de la limite des concepts de nature, de culture, de construction, de déconstruction.
Ramener le spectacle sur un sol où s’infiltre la terre et où le vent se balaye.
Laisser alors la narration et ne garder que la mise en place technique, video et audio : un geste, comme spectacle primitif de l’intention. Rituel.











Assujettir, principal mode de production cinématographique. Capturer le mouvement, l'action, le sens, par la focalisation d'un sujet. Pourtant il ne s'agit pas de saisir (en cinéma) mais de capter, de se douter de quelque chose, l'idée dans sa fragilité étant plus puissante, fulgurante. Un mouvement glissant du cadre aux hors-champ, de la certitude prouvée de l'image à l'esprit doutant et créatif du spectateur. Trembler, hésiter, choisir durant la prise de vue, l’intention en durée d'expérience d'un plan séquence. La vision du cadreur dans la position d'être revécu par d'autre.
Partager l'intuition d'un sens car l’image n'a pas de sens, c'est lui qui se cherche en elle. C'est l’universalité du cinéma, l'intelligence n'y est pas discursive mais une quête sensorielle un relais de l'esprit, le plaisir de croire (de voir) que l'on partage la brièveté d'une intuition. Assujettir, normaliser, ne plus partager que les évidences, tourner en rond sur soi même, dormir ou plutôt faire dormir les rêves. Intention et intuitions profondément liées, résistance dans la structure même de l’image.




Voyou Cosmique








photo: Esther Berelowitch











2000 : .Bac littéraire option cinéma audio-visuel au Lycée Camille Vernet (Valence).











2000 : .Entrée à l’Ecole Régional des Beaux Arts de Valence.











2002 : .Exposition collective « Le temps d’un week-end 6 » avec 5 autres étudiants de l’école d’art de Valence au Transpalette à Bourges sous la direction de l’artiste-enseignant Veit Stratmann.











2003 : .Exposition collective d’étudiants des écoles d’arts de Valence et de Lyon « On est arrivé par l’ouest » (suite au voyage d’étude à Odessa en Ukraine) à l’ ERBA Valence et l’ENBA Lyon.











.Diplôme National d’Art Plastique obtenu avec une mention pour l’engagement personnel.











2004 : .Workshop au Subsistance (Lyon) avec l’artiste-performeuse Catherine Contours.











2005 : .Bénévole sur le tournage de « Sevens min before » vidéo de Mélik Ohanian présenté à la biennal d’art contemporain de Lyon en 2006.











.Exposition collective « Travaux en cours » à S. Etienne regroupant des étudiants des écoles d’arts Rhône Alpes.











. Diplôme National Supérieur d’Etudes Plastiques obtenu avec les félicitations du jury.











. Exposition « Là-bas si j’y suis » en compagnie de Marie Frier et Marion Delaballe (diplômés avec mention) à Mirmande (26).











2006 : . Exposition collective «mulhouse 006 » regroupant la création contemporaine issue des écoles d’art de France, Suisse, Allemagne et Italie, à Mulhouse.











. Divers performances de live vidéo avec le collectif « Ethnocif », notamment le Vizual Contact Lab #1 à Gap, le festival Electromind à Montpellier, le Zoo à Genève, le festival d’Avignon avec le J.T du OFF et la compagnie Arkaos, l’Expo Performance organisé par le collectif Art Rencontre Industrie à la Communauté Emmaüs Etoile sur Rhône (26)…







2007: .15 mai performance pour "la nuit des musées" au Musée de la Ville de Valence, accompagné par VJ Zero et en collaboration avec le Pôle Musique Actuelle.







.25 mai présentation de la performance "(LES OCCASIONS)" + VJ set du collectif Ethnocif (bande-son DJ Franek) à Lux Scéne Nationale de Valence.




.1er juillet performance "(LES OCCASIONS)" sur le marché aux puces de Guilherand-Granges.



.divers performances de VJ set http://lebranchu.blogspot.com/